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11 mars 2011 5 11 /03 /mars /2011 18:00

Le 11 mars 2011

SAINT-JEAN-D’ANGÉLY – FONTENET – PROJET DE CENTRE PÉNITENTIAIRE

Les atouts de Fontenet

"Nous voulons la prison"

"Tous à Fontenet samedi 12 mars"

A la veille de la manifestation du samedi 12 mars à Fontenet, le maire de Saint-Jean-d’Angély, Paul-Henri Denieuil, a fait parvenir ce vendredi à la presse un communiqué sur les atouts du camp de Fontenet sur l’implantation du centre pénitentiaire départemental projeté par le ministère de la Justice. J’ai trouvé intéressant, à titre d’information, de porter son contenu à votre connaissance, à l’exception de quelques photos. Ci-dessous le texte.

 

Les élus du Pays des Vals de Saintonge invitent la population du territoire

à venir participer à partir de 10 heures

à la journée de mobilisation en faveur de l’implantation

d’un centre pénitentiaire à Fontenet

A cette occasion une conférence de presse sera organisée, le samedi 12 mars 2011 à 11 heures, place de la mairie à Fontenet

Programme

A partir de 10 heures : visite du camp de Fontenet

A partir de 11 heures : conférence de presse

Paul-Henri Denieuil (maire de Saint-Jean-d’Angély) et Michel Villain (maire de Fontenet) épondront aux questions des journalistes.

Inauguration d’un mur érigé et tagué par les élus des communes du territoire. Discours des personnalités présentes

A partir de 13 heures : buffet campagnard gratuit

Fontenet le projet de l’espoir

 

fontenet PHDenieuil MVillain-bl2Paul-Henri Denieuil, maire de Saint-Jean-d’Angély, président du Pays des Vals de Saintonge, et

Michel Villain, maire de Fontenet : « Notre dossier est techniquement le meilleur. La construction d’un centre pénitentiaire à Fontenet serait un signal fort pour notre économie ».

Des prisons vétustes, d’un autre siècle… 64 000 détenus, 50 000 places…La France, nation des Lumières et terre des Droits de l’Homme, se doit de respecter la dignité des condamnés en leur accordant des conditions carcérales adaptées au monde d’aujourd’hui. Les deux ministres de la Justice, Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie, qui ont précédé l’actuel garde des Sceaux, Michel Mercier, ont pris la sage décision de fermer les geôles les plus indignes et de les remplacer par des établissements à taille humaine. Aucun d’eux ne pourra accueillir – en cellule individuelle – plus de 700 détenus. L’heure est au choix des projets conçus par les différentes collectivités territoriales qui pensent pouvoir répondre aux attentes de la Justice.

Les unes veulent simplement conserver le privilège de posséder un tel établissement, arguant de la proximité d’un tribunal ou d’une cour d’assises. D’autres y voient l’occasion de redresser une situation économique parfois délicate en accueillant de nouveaux emplois, de nouvelles familles. Le projet de prison au camp de Fontenet entre dans cette dernière catégorie. Depuis vingt ans, le Pays des Vals de Saintonge supporte un déclin auquel tous les élus, quelle que soit leur tendance politique, veulent mettre fin. Il est établi que, pour chaque détenu, un emploi direct ou indirect se crée…

Aujourd’hui, le cabinet du ministre et les services de la Justice examinent les dossiers, pèsent les arguments. Dans quelques semaines, le garde des Sceaux, Michel Mercier, prendra ses décisions. Les élus entendent bien lui démontrer que leur dossier est le meilleur, le plus techniquement abouti, le plus acceptable financièrement. Ils veulent aussi lui faire savoir que, loin de renâcler comme on le voit ici et là, y compris en Charente-Maritime, la population, dans son ensemble, soutient ce projet.

C’est l’objectif de la manifestation du samedi 12 mars, à laquelle tous les habitants du Pays des Vals de Saintonge sont invités à participer.

Samedi, apportez votre pierre

au mur symbolique de soutien

Bien sûr, les élus, tous les élus, ceints de leurs écharpes, seront là, samedi, sur la place de la mairie de Fontenet. Bien sûr, les uns et les autres développeront dans leurs discours la même conviction que la construction d’un établissement pénitentiaire au camp de Fontenet serait, pour le Pays des Vals de Saintonge, le début d’une nouvelle ère, en tout cas la fin d’une période trop longue pendant laquelle, peu à peu, la région a perdu des entreprises, perdu des emplois, perdu des habitants.

Déjà, depuis deux ou trois ans, la tendance s’est inversée. La population augmente à nouveau et quelques chantiers dressent leurs grues, signe d’une reprise, encore hésitante. Chacun, aujourd’hui, l’a compris, il faut pour vraiment repartir que les Vals de Saintonge bénéficient de l’arrivée d’un projet structurant de grande ampleur. En cette période de sortie de crise, qui, mieux que l’État, est capable de l’apporter ? Ce message, les élus le portent depuis plus de deux ans, depuis que l’équipe de Paul-Henri Denieuil, rejointe au fil du temps par toutes les forces vives du Pays, a élaboré le premier dossier, arguant aussitôt des atouts certains de notre territoire. Unis, ils sont allés à Paris défendre leur projet auprès du ministère de la Justice. Unis, avec l’appui de Dominique Bussereau, président du Conseil Général, ancien ministre, et de Catherine Quéré, députée de la circonscription, ils le défendent face à d’autres, qui profitent déjà de bien d’autres

possibilités de développement économique. Aujourd’hui, proches du but, ils ont besoin, pour gagner, que la population exprime avec force et détermination son soutien.

Décideurs, présidents d’associations, simples habitants sont autant de voix qui doivent se faire entendre. Le rendez-vous est pris. Il sera à la fois original et spectaculaire. Samedi 12 mars, de 11 heures à 14 heures, sur un mur symbolique, les maires du Pays des Vals de Saintonge, entourés de leurs concitoyens, inscriront le nom de leur commune pour affirmer leur adhésion au projet de prison. Élus nationaux, régionaux et départementaux feront de même, avant de signer, avec la population, un Livre d’Or qui sera envoyé au garde des Sceaux.

Parallèlement, une exposition est prévue à la salle des fêtes de Fontenet, qui présentera l’histoire de l’ancien camp militaire et détaillera les atouts que possède notre dossier de candidature. Ceux qui le désirent pourront aussi visiter le camp, avant le grand buffet républicain qui clôturera l’événement.

 

Les 10 points forts de Fontenet

Même si, parmi les élus du Pays des Vals de Saintonge, chacun espère que cette dimension sera prise en compte par le ministre, l’aménagement du territoire ne saurait être le seul motif de décision en notre faveur. Il en existe au moins dix autres. Le dossier Fontenet correspond en tous points aux attentes du ministère de la Justice. Il est indéniablement le meilleur. On trouvera ci-dessous les souhaits des services du garde des Sceaux et les réponses apportées par les responsables de la candidature de Fontenet.

Un terrain de 20 à 30 hectares

Le camp de Fontenet (107 hectares) correspond parfaitement à cette exigence. Le terrain est plat, dégagé et déjà viabilisé : il a servi d’aérodrome avant et pendant la Seconde Guerre Mondiale. Aucune modification du Plan Local d’Urbanisme ne sera nécessaire, le camp étant déjà classé pour recevoir des activités telles qu’un établissement pénitentiaire.

Un coût d’acquisition raisonnable

Le camp de Fontenet appartient au Conseil Général depuis plus de dix ans. Les terrains nécessaires à la prison seront vendus à l’État à des conditions avantageuses qui feront l’objet de discussions entre l’acquéreur et le Département. Un autre avantage important est que le projet de Fontenet n’exige pas, contrairement à d’autres, l’acquisition de terres agricoles. Terres que l’État cherche aujourd’hui à préserver, notamment auprès du littoral.

Des logements attractifs pour le personnel

Le marché immobilier local, qu’il s’agisse de vente ou de location, pratique des prix très raisonnables par rapport à ceux de la côte. Un pavillon T4 se loue entre 550 et 650 euros par mois et le prix de vente est de 1 000 à 1 500 euros le m2. L’offre - environ 600 logements aujourd’hui - est essentiellement pavillonnaire, complétée d’appartements F1 à F5 à Saint-Jean-d’Angély. De nombreuses communes des alentours disposent de terrains constructibles et envisagent des lotissements. Les plus jeunes fonctionnaires pourront être hébergés au Foyer de Jeunes Travailleurs (50 studios).

La proximité de lieux de commerce et d’animation

Saint-Jean d’Angély offre un centre-ville attractif, avec plus d’une centaine de magasins, et, en périphérie, plusieurs grandes surfaces généralistes et spécialisées. Aux beaux jours, les terrasses fleurissent dans le cœur de ville historique livré aux piétons et aux touristes. Quant aux loisirs, multiples, ils satisfont tous les goûts : musée, bibliothèque, soirées culturelles, cinéma, piscine, promenades sur les rives de la Boutonne et au plan d’eau de Bernouët… Le tout dans l’atmosphère calme d’une cité à taille humaine, qui compte plus de 200 associations !

La proximité de services publics

Sous-préfecture de la Charente-Maritime, Saint-Jean d’Angély accueille l’ensemble des services publics nécessaires à la population : services préfectoraux, annexe du Conseil Général, centre des impôts, services postaux, centre de secours, annexes des chambres consulaires, Mission Locale, Pôle Emploi, bureau de la CAF, centre intercommunal d’action sociale (CIAS)… Dans le domaine de l’enseignement secondaire, le Pays des Vals de Saintonge dispose de deux lycées (Bac +2), de huit collèges, dont un privé, et de deux Maisons Familiales Rurales. Les centres universitaires les plus proches sont Bordeaux, Poitiers et La Rochelle. La région compte aussi une trentaine d’organismes de formation par alternance.

La proximité d’un hôpital

Le centre hospitalier Saint-Louis, qui, au total, dispose de 653 lits, compte une importante unité « accueil urgences » et des services très compétents, notamment dans le domaine de la cardiologie, de la gastroentérologie, de la médecine d’adaptation et de la chirurgie polyvalente. Depuis 2010, il travaille en totale association avec celui de Saintes et dispose ainsi d’équipes médicales renforcées. L’établissement, qui gère également trois maisons de retraite, possède une maternité de 15 lits. Ses personnels sont aptes à assurer le suivi médical des détenus et pourront se déplacer rapidement à Fontenet, distant de moins de 10 km.

La présence de forces d’intervention

La compagnie de gendarmerie de Saint-Jean-d’Angély, dont le territoire d’intervention recouvre le Pays des Vals de Saintonge, compte 79 officiers et sous-officiers, dont 24 affectés à la brigade de territoriale de Saint-Jean-d’Angély, 5 à la brigade de recherche, 14 au peloton de surveillance et d’intervention. Courant 2011, la compagnie s’installera dans une caserne flambant neuve. Un escadron mobile de gendarmerie est positionné à Poitiers, à une heure de Saint-Jean-d’Angély.

La proximité des autres services de la Justice

Saint-Jean d’Angély, sur la carte juridique, offre une position centrale. La ville est au centre d’un triangle La Rochelle-Saintes-Niort, sièges de tribunaux de Grande instance et de cours d’Assises. La ville compte plusieurs cabinets d’avocats, annexes de ceux de Saintes. La desserte routière de bonne qualité met Saintes et Niort à une demi-heure de Saint-Jean-d’Angély, La Rochelle à une heure. Il est probable que, dans l’avenir, grâce aux moyens modernes de communication, bon nombre des déplacements que nécessite le suivi des détenus, seront remplacés par des visioconférences…

L’existence de transports publics

Saint-Jean-d’Angély est desservie par la voie ferrée Niort-Saintes, dont la modernisation est programmée jusqu’à Royan. L’agglomération, qui bénéficie d’un échangeur de l’A10, est aussi desservie par le réseau d’autobus « Les Mouettes », qui sera adapté aux besoins spécifiques du centre pénitencier, notamment des familles de détenus.

Des possibilités d’éducation, de formation et de réinsertion

De nombreux organismes et associations sont prêts à participer à de telles offres : Pôle Emploi et la Mission Locale bien sûr, mais aussi le Greta, qui organise des formations pour adultes dans les lycées, la Maison de l’Entreprise et de l’Emploi, qui développe des partenariats avec des organismes spécialisés dans la réinsertion, Envol 17, qui propose l’acquisition des savoirs de base (lire, compter…), le Centre Insertion et Environnement de Bignay, la Fondation Robert, qui s’occupe notamment des jeunes en difficulté psychologique, Parcours 17, Aide et Soutien, Tremplin 17, L’Arche, la Croix-Rouge, le Secours Catholique, le CIAS… Par ailleurs, du travail en sous-traitance pourra être confié aux détenus par des entreprises locales. La participation efficace du patronat local à la remise au travail des détenus en fin de peine est également envisageable.

 

À ces dix points forts du dossier Fontenet, s’en ajoutent deux autres :

- La motivation sans faille des élus locaux autour de ce projet ;

- Leur union, toutes tendances politiques confondues, pour défendre la candidature de Fontenet, qui, de plus, bénéficie du soutien actif du Conseil Général.

Paroles d’élus

« Un projet indispensable à la revitalisation économique de notre territoire. »

 

Dominique BUSSEREAU

Président du Conseil général,

Ancien ministre

« Du point de vue de l’aménagement du territoire, le projet de Fontenet est le plus cohérent puisqu’il est équidistant de La Rochelle et de Saintes. De plus, le terrain appartient déjà au Conseil Général. La zone située autour de Saint-Jean-d’Angély a vraiment besoin d’être dynamisée, beaucoup plus que la Communauté d’agglomération de La Rochelle, déjà très active. Sans compter que le foncier est beaucoup plus abordable en Nord-Saintonge, ce qui permettrait aux familles du personnel de s’installer plus facilement. »

 

Catherine QUÉRÉ

Députée (Saintes / Saintes-Jean-d’Angély)

« Mon objectif premier est d’éviter que ce projet se réalise du côté de La Rochelle, mais en Saintonge où deux beaux dossiers principaux sont proposés (Saintes - Saint-Jeand’Angély / Fontenet), chacun permettant le maintien de la Cour d’assises départementale à Saintes et la création de nombreux emplois. J’espère que le gouvernement va enfin prendre sa décision et ce, en fonction de critères objectifs. »

 

Claude BELOT

Sénateur de la Charente-Maritime

Président du conseil général honoraire

« Je soutiens la candidature du camp de Fontenet. La pertinence de ce choix d’implantation du centre pénitentiaire départemental repose sur l’accessibilité du lieu, la disponibilité foncière immédiate, l’existence d’une capacité d’accueil des familles des salariés. Ce choix répond également au souci d’équilibre départemental en terme d’aménagement du territoire. Je souhaite de tout coeur pour Fontenet et la région de Saint-Jean-d’Angély qu’il soit retenu. »

 

Paul-Henri DENIEUIL

Maire de Saint-Jean d’Angély

Président du Pays des Vals de Saintonge

« Je me félicite que les élus de Saintonge, toutes tendances confondues, soutiennent le projet de prison au camp de Fontenet. Je me félicite aussi du soutien des avocats et des syndicats de surveillants de Saintes. Notre projet répond à toutes les conditions techniques exigées par l’administration pénitentiaire. Cette localisation offrira d’excellentes conditions d’accueil aux familles du personnel pénitencier et à celles des détenus. En termes d’aménagement du territoire, l’implantation d’un tel établissement en Saintonge permettra de créer des emplois dans une zone particulièrement touchée par la crise économique.

Voulons-nous laisser des territoires entiers se vider de leurs habitants, ne laissant sur place que ceux qui n’ont pas les moyens de rejoindre les privilégiés de la côte ? Elle serait belle notre France ! Je regrette que les grandes administrations de notre département ou le tourisme, qui reste la vocation naturelle du littoral, ne suffisent plus à satisfaire les appétits de ceux qui veulent toujours plus. »

 

Jean-Mary BOISNIER

Conseiller général du canton d’Aulnay

L’implantation du centre pénitentiaire sur le site de Fontenet constituerait un atout majeur et vital pour notre arrondissement. De plus, ce choix répond à deux éléments ; le premier s’inscrit dans un réaménagement du territoire au profit des zones défavorisées et le second permet la préservation des zones agricoles par la réutilisation d’une friche existante.

 

James ROUGER

Président de la CDC du Pays de Matha,

Suppléant de Catherine Quéré

« Le 17 février, la CDC du Pays de Matha a délibéré à l’unanimité pour soutenir le projet de centre pénitentiaire à Fontenet. Implantée là, la nouvelle prison permettrait de rééquilibrer notre territoire départemental. Nous sommes persuadés que le canton de Matha, comme les autres cantons du Pays, serait bénéficiaire de retombées économiques très significatives.»

 

Francis BOIZUMAULT

Président de la CDC du Pays Savinois

« Les conseillers communautaires du Pays Savinois, réunis le mardi 22 février, ont signé unanimement une motion à l’attention de M. le Préfet afin de lui faire part de leur soutien à l’implantation d’un centre pénitentiaire à Fontenet. Tous sont sensibles à l’enjeu socio-économique que représente un tel projet pour le territoire du Pays des Vals de Saintonge.

 

Maurice PERRIER

Président de la CDC de Loulay

« L’implantation d’un centre pénitentiaire à Fontenet est un projet structurant qui contribuerait à maintenir et développer les activités de nos territoires ruraux, permettant ainsi d’assurer la pérennité des services indispensables aux différents acteurs économiques, ainsi qu’à nos populations. »

 

Michel VILLAIN

Maire de Fontenet

« Pourquoi une prison à Fontenet ? La réponse peut être très simple : pour embellir notre village… Soyons sérieux ! C’est tout à fait logique que Saint-Jean-d’Angély/Fontenet se porte candidat pour obtenir cette prison sur notre territoire. Nous sommes les parents pauvres du département. La construction de cette prison apporterait un boom économique sur le pays, je pense et j’en suis certain, ayant déjà vécu l’expansion d’un village de 300 habitants en Savoie. Certes, une prison à Fontenet changera certaines de nos habitudes. La première chose à réaliser : la création de lotissements pour recevoir de nouveaux habitants. Ensuite, le conseil municipal réfléchira à ce qu’il faudra faire d’intéressant pour recevoir les gardiens de prison et les visiteurs des prisonniers. Souhaitons d’avoir cette prison sur notre territoire. Tous ensemble pour notre réussite ! »

 

Jean-Louis RÉMUZEAU

Maire de Varaize

«Limitrophe de Fontenet, Varaize sera en situation idéale pour accueillir des familles du personnel de la prison et leur offrir un cadre de vie agréable et pratique. Cette population nouvelle donnera du travail à nos artisans et renforcera notre projet de « Multiservices ».

Notre commune a déjà reçu plusieurs demande de terrain à bâtir pour du locatif. Nous devons fortement soutenir le projet de la prison à Fontenet. »

 

Jean-Jacques POUPARD

Maire des Églises-d’Argenteuil

« Le conseil municipal et moi-même mesurons l’importance du projet d’établissement pénitentiaire à Fontenet pour les communes aux alentours et leurs commerces. Ce projet est indispensable pour notre territoire et tous les élus ne s’y sont pas trompés. C’est un véritable consensus politique. Bravo ! »

 

Jean-Luc RENAUDET

Maire de Taillebourg

« Dans une région particulièrement sinistrée par la carence d’emplois, l’implantation d’un établissement pénitentiaire à Fontenet est une opportunité que notre pays ne peut laisser passer. Cette création donnerait le signe de départ de la revitalisation du tissu économique régional. La municipalité de Taillebourg soutient ce projet sans restriction. »

 

Monique ROY

Maire de Saint-Séverin-sur-Boutonne

« Notre commune soutient le projet d’établissement pénitentiaire à Fontenet. Il dynamisera notre arrondissement, permettra de maintenir les services existants, de créer des emplois, de développer l’économie locale ! »

 

Jean-Yves GROLLEAU

Maire de Migré

« J’apporte mon soutien indéfectible au projet de centre pénitentiaire à Fontenet. L’emplacement est idéal et le personnel peut être assuré d’y être accueilli avec leurs familles dans d’excellentes conditions. En outre, ce projet constituera la première pierre du réaménagement du Nord-Saintonge. »

 

Philippe HARMEGNIES

Maire de Courcelles

« Notre commune est impliquée et solidaire du projet de construction d’un établissement pénitentiaire à Fontenet, sa réalisation apparaissant comme un espoir de développement économique pour notre territoire trop souvent oublié. »

 

Jean-Michel FOUET

Maire de Bernay-Saint-Martin

« Cette structure fermée serait économiquement, pour notre territoire, une très bonne ouverture. »

 

Guy CLEMENCEAU

Maire de Bazauges

« En tant que maire de l’arrondissement, je suis très favorable à l’implantation de la prison à Fontenet. Cela pourrait dynamiser notre secteur de Saint-Jean d’Angély. »

 

Pierre GEOFFROY

Maire de La Benâte

« Le réveil économique de l’arrondissement de Saint-Jean est lent. L’implantation du centre pénitentiaire à Fontenet est judicieux géographiquement et va créer une dynamique économique. La Benâte soutient ce projet d’implantation. »

 

Claude GENEAU

Maire de Saint-Pierre-de-Juillers

La commune de Saint-Pierre-de-Juillers, proche de Fontenet, se manifeste très favorablement en faveur du projet de centre pénitentiaire. Notre situation géographique « d’arrière pays » par rapport à la région côtière souffre du manque d’activité. Les emplois se font de plus en plus rares, les retombées économiques également. Il y a urgence afin d’éviter une plus grande désertification !

 

Guy MADÉ

Maire d’Asnières-la-Giraud

Je soutiens sans réserve l’implantation d’un établissement pénitentiaire à Fontenet. Le terrain étant libre, le projet ne nuit pas du tout à l’activité agricole. Ce serait une erreur économique fondamentale de priver le secteur de Saint-Jean-d’Angély de cet aménagement. L’implanter près du littoral (déjà très favorisé) reviendrait à laisser mourir l’arrière-pays.

 

Pierre BOULOC

Maire de La Vergne

La Vergne appuie fortement ce projet en raison de son intérêt pour les personnels pénitentiaires (qualité et coût de la vie), pour l’arrondissement de Saint-Jean-d’Angély (acte fort d’aménagement du territoire) et pour les détenus et leurs familles( conditions de vie décentes).

 

Frédéric EMARD

Maire de Saint-Julien de l’Escap

Puisse enfin, les Vals de Saintonge s’envoler vers les sommets

 

Un établissement pénitentiaire à

Saint-Jean-d'Angély - Fontenet

Le défi

Le ministère de la Justice annonce la construction de 5000 nouvelles places de prison

Saint-Jean-d’Angély et Fontenet soutenus par tous les élus du Pays des Vals de Saintonge posent la candidature de Fontenet

 

Avec la population, les élus du Pays, toutes tendances confondues, affirment leur cohésion et leur volonté en faveur de Fontenet

Tous les habitants du Pays soutiennent l’initiative de leurs élus le 12 mars 2011 marquant leur détermination par la construction d’un mur symbolique sur le site de Fontenet

 

Les objectifs du Ministère de la Justice

Que demande le Ministère de la Justice ?

D'ici 2015 : 5000 places de détention supplémentaires pour lutter contre la sous-capacité carcérale

Fermer les vieilles prisons

Construire de nouveaux établissements de 700 détenus maximum

 

Les conditions de réalisation d’un centre pénitentiaire

Un terrain dégagé et viabilisé d'environ 15 à 30 hectares

Un coût d'acquisition attractif

De bonnes conditions d'accueil pour le personnel pénitentiaire

La proximité d'un hôpital et des forces d'intervention

Une accessibilité et des transports publics pour l'accompagnement

Un bassin de population offrant aux détenus des possibilités d'éducation scolaire et de formation puis de réinsertion

 

La carte judiciaire du territoire

 

Comment répondons-nous ?

Les atouts du Pays des Vals de Saintonge

Atout n°1 : Notre position centrale

Un bassin de population de 3,5 millions d'habitants

Proximité des grandes villes de Charente-Maritime et des Deux-Sèvres (La Rochelle, Rochefort, Saintes, Niort)

Desservie par l'autoroute A10 :

420 km de Paris

110 km de Poitiers

143 km de Bordeaux

Reliée aux Deux-Sèvres et à la Vendée via Niort (A10 + A83)

Desservie par le réseau SNCF

 

atouts1 position centraleUne position centrale

 

Atout n° 2 : Des disponibilités foncières attractives

107 hectares aux portes de la ville appartenant au Conseil Général de la Charente-Maritime

 

atouts2 disponibilités foncières localisationLa localisation de Fontenet

 

atouts2 disponibilités foncières le campLe camp de Fontenet

 

Atout n° 3 : Nos capacités d’accueil du personnel

600 logements disponibles à des coûts très abordables

Des infrastructures scolaires de la maternelle au Bac + 2

Des commerces de proximité

Une excellente couverture médicale et paramédicale

L’accès à plusieurs bassins d’emploi pour les conjoints

Une qualité de vie remarquable

 

Atout n° 4 : Nos services de proximité

Gendarmerie

Hôpital

Maternité

Centre de secours renforcé

 

Atout n° 5 : Notre dispositif social pour la réinsertion des détenus

Pour la réinsertion des détenus

Un corps enseignant et des organismes de formation

Une infrastructure d’aide aux personnes en difficulté sociale

 

Atout n° 6 : Notre volonté politique

Notre volonté de mettre en œuvre les infrastructures

• Viabiliser les terrains

• Organiser les transports

• Accueillir le personnel  pénitentiaire et les familles des détenus

Tous mobilisés pour un projet participant au développement économique du territoire

 

A suivre : l'histoire du camp de Fontenet

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