Mercredi 23 février 2011 – Billet 109
SAINT-JEAN-D’ANGÉLY
A lire dans Sud Ouest
23 février 2011 06h00
Saint-Jean-d'Angély
Deux morts dans l'explosion d'une maison, hier matin
Saint-Jean-d'Angély a vécu, hier matin, un véritable traumatisme avec l'explosion de gaz qui a détruit totalement un pavillon résidentiel, situé au 10 de la rue des Lilas, et en a endommagé beaucoup d'autres dans cette artère paisible comme dans les rues voisines. On lira en pages faits divers et Charente-Maritime les articles consacrés à ce drame. Dominique Bussereau, président du Conseil général, et Catherine Quéré, députée de la circonscription, se sont rendus sur place hier après-midi. PHOTO BERNARD MAINGOT
23 février 2011 06h00 | Par Dominique paries
Deux morts dans l'explosion due au gaz
Les victimes, un homme de 88 ans et une femme de 77 ans, habitaient deux pavillons voisins dans un quartier résidentiel qui a été très endommagé.
Il ne reste rien du pavillon de René Cavier (au centre de la photo). Jeanine Massonneau se trouvait dans la pièce située derrière le groupe des pompiers ; un mur est tombé sur elle. PHOTO BERNARD MAINGOT
Au 10 de la rue des Lilas à Saint-Jean-d'Angély (Charente-Maritime), il ne reste rien du pavillon de René Cavier et de son épouse. La maison, composée d'un rez-de-chaussée et d'un étage, a été soufflée par une violente explosion, provoquée vraisemblablement par
23 février 2011 06h00 | Par dominique paries
Toute une ville endeuillée, tout un quartier meurtri
Toute la ville pleure René Cavier, 88 ans, et Jeanine Massonneau, 77 ans, morts dans l'explosion de gaz survenue hier matin au 10 rue des Lilas.
PHOTO BERNARD MAINGOT
Saint-Jean-d'Angély tout entière porte le deuil de René Cavier, 88 ans, et de Jeanine Massonneau, 77 ans, les deux retraités demeurant aux numéros 10 et 8 de la rue des Lilas, tués hier matin dans une violente explosion de gaz qui a détruit le pavillon de M. Cavier. L'émotion est d'autant plus vive à travers la ville que René Cavier était une figure du sport angérien (lire par ailleurs) mais aussi que la déflagration, d'une « intensité extraordinaire »…
PHOTO BERNARD MAINGOT
PHOTO BERNARD MAINGOT
PHOTO DOMINIQUE PARIES